Finalement ... [PV - Chuuya]

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Il était tard ce soir. C’était l’une des premières fois ou le jeune blond sortait aussi tardivement. Mais au moins il était fier de lui, fier parce qu’il avait écrit une nouvelle chanson, une chanson qu’il lui destinait. Il espérait juste que Yamada puisse l’entendre, qu’il l’écoute chaque soir et qu’il ne l’oublie pas, même après la mort, on ne peut pas les séparer, on ne les a jamais séparer. Kouji, on ta déjà dit d’arrêter, on ta déjà dit de le laisser de coter, mais tu ne sais pas …

Le blond ne voulait pas aller très loin ce soir, il avait dormit pendant un bout de temps après les cours et il voulait aller directement en cours a partir du moment ou son alarme sonnera. Une alarme qui lui annonce que le soleil se lève et qu’il doit aller se mettre à l’abris. C’est embêtant. Mais il la dit à ses parents, un jour, il voudrait remettre sa combinaison pour revoir le soleil, mais il a peur de l’affronter seul, alors il réfléchit encore, il attend de voir, quand il aura le courage de le faire …

Alors qu’il marchait en direction de l’université, sa guitare a l’épaule et ses lunettes bleu sur les yeux, il vit le toit de l’établissement au loin. Et a partir de ce moment, une seule chose lui venait à l’esprit, y aller. Aller la haut pour voir la lune de plus près, aller la haut pour pouvoir rêver encore en regardant les étoiles. Sans lui … Il doit tout faire sans l’homme qu’il aime et qui a disparu. Mais Kouji sait qu’il est toujours la, il sait que dans son cœur il règne, c’est son roi …

Le blondinet monta alors jusqu’au toi de l’université. Par chance, il n’y avait personne, il n’aimait pas la compagnie, parce qu’il avait assez peur des gens nouveaux, il avait peur de s’attacher à des gens, il avait peur que des gens se moquent de lui en connaissant rien que le nom de sa maladie. Comme les gens qui se moquent des enfants qu’on peut voir sur le net, des enfants qui ont été exposés pendant longtemps au soleil et qui n’ont presque plus de visage … Il n’aime pas.

Kouji alla s’asseoir au bord, il posa sa guitare derrière lui et il s’appuya sur les coudes pour pouvoir regarder le ciel. Il aime faire ce genre de chose. Tous les soirs il les regarde en cherchant un signe de l’être qu’il aime, mais chaque soir il ne reçoit rien, il ne perd pas espoir, il ne veut pas se mettre dans le crane que Yamada est mort, c’est trop difficile a avaler. Sans lui, il n’est rien.

Au bout d’un certain moment, il repensa au titre de sa nouvelle chanson. « Stay with me ». Il se redressa et attrapa sa guitare qu’il posa sur ses genoux. Puis il commença à jouer, laissant ses jambes se balancer dans le vide. Il ne chantait pas fort, il essayait de ne pas faire trop de bruit, il était quand même sur un toit. Sa voix ne changeait pas, mélodieuse, douce. Il pourrait chanter des berceuses pour enfant.

Invité

« Himegimi-san, pourriez vous préparer les salles pour demain? Je dois aller à une réunion ce soir? »

« Hai, Senpai. »

La vieille femme partit, laissant Chuuya dans le laboratoire. La demoiselle n’était pas super motivée pour faire son travail mais bon, elle n’était pas présidente du club de Biologie pour rien! Elle ne se laissait pas démotivée par la tâche, la faisant avec application…même jusqu’à ce que le soleil se couche. Chuuya était tellement absorbée par son travail sur la paillasse, qu’elle n’entendit pas la porte du laboratoire se fermer. Du moins, elle était dans une autre pièce mais qui n’avait aucune porte, laissant aucune chance à la jeune femme de sortir. Quel stupide idée d’avoir dis oui, surtout au moment où elle la vit, vraiment. La jeune femme poussa un long soupire et courut se nettoyer les mains d’abord pour éviter toutes contaminations. Chuuya cherchait ses clefs, mais non, mal chance est là et elle ne les trouvait pas.

Heureusement, elle entendit des petits « clap clap » rapides dans les couloirs. La porte s’ouvrit rapidement et là, la dame qui revenait plus rapidement. La nippone fut soudainement rassurée, une peur qui ne fut pas bien longue mais Chuuya avait risqué la syncope à coup sur. Elle attrapa rapidement son sac à bandoulière et sortit de la pièce, avant la préparatrice qui fermait le tout. La nippone sortit du bâtiment scientifique lorsqu’elle aperçut au loin, malgré qu’il faisait nuit, un garçon, portant une guitare. C’était un peu tard pour le groupe de musique de se réunir, non? Peut être un rebelle qui sait ? Sa lui arrivait de tomber sur d’autres adolescents un peu je m’en Foutiste.

Tu vas pas faire sa?
Sa quoi?
Le suivre…
Si =D!

Alors que le jeune homme était déjà entré depuis au moins cinq minutes, la demoiselle le suivit de peu et marchait le long du couloir qui rejoignait l’escalier. Elle attendait au moins une ou deux minutes devant la porte pour monter, vu qu’elle l’avait suivis assez bien pour voir où il allait. Lorsqu’elle monta à son tour, la jeune femme entrouvrit la porte du tout, silencieusement. Elle passa juste un peu la tête, regardant un peu plus et vit alors le garçon prendre sa guitare pour jouer. La jeune femme se lançait dans une mission périlleuse, mission discrétion! Ce qui était dure pour la demoiselle, qui l’était très rarement. Elle se cacha derrière l’escalier, puis alla vers le mur du coté ou les rayons de la Lune n’allait pas l’éclairer.

Une fois mise derrière lui, elle s’assit sur le rebord du toit. Les coudes sur les cuisses et la tête sur les mains en direction du garçon. Elle sourit, admirative de la jolie voix qu’il avait. Ce qui n’était pas donné à tout le monde d’ailleurs, même si Chuuya savait bien chanter, elle laissait le talent aux autres. En plus, ce qui l’étonnait, c’est qu’elle ne reconnaissait pas le morceaux. Il…l’avait composé tout seul? Enfin, elle ne le savait pas, mais peut être un doute qui passait dans sa tête. La jeune femme attrapa son portable pour enregistrer la musique, même si c’était en cours, c’était quand même une jolie chanson…

Alors que le portable à la main, elle continuait à l’écouter, Chuuya ne se rendait pas compte qu’elle balançait légèrement la main aux rythmes de la musique, et des paroles de l’inconnu. Mais la jeune femme ne sentit pas le portable partir et celui-ci tomba malheureusement sur le sol, dans un bruit quand même bien perceptible…Chuuya grimaça et sauta littéralement sur le portable pour l’attraper mais, voulant ne pas être impolis, elle leva doucement son regard vers l’inconnu…

« Sumimasen…Je ne voulais pas te déranger mais…tu chantais si bien que je n’ai pas voulu te déranger… »

La jeune femme rougit légèrement, morte de honte de s’être fait prendre comme sa, aussi bêtement. Pour une fille de la classe A, c’était vraiment pas malin! Chuuya s’auto maudissait alors, espérant que le garçon ne prennes pas mal le fait qu’elle soit là…

Invité

Kouji était carrément inconscient. Enfin, c’était déjà à cause du fait qu’il soit partit dans les étoiles avec Yamada. Les artistes le savent et doivent le comprendre, quand on chante ou quand on joue, on a l’impression d’être les maitres du monde. Kouji, il avait l’impression d’être dans les étoiles, avec son Yamada qui était juste a coter, en train de l’écouter. Pourquoi n’arrive t-il pas a l’oublier ? Vous savez ce que c’est qu’être amoureux. Vous savez ce qu’est la douleur d’une si grande séparation ? Alors vous savez pourquoi il ne fait que penser à cet homme. On oublie jamais les gens qu’on aime, encore moins les gens qu’on aime plus que nous même.

La en tout cas, il croyait que tout le monde dormait et qu’il arrivait à bercer tout ce qu’il y avait en dessous de ses pied. Il aimerait que tout le élèves l’entendent, il aimerait juste tous les touchés en plein cœur. Mais il aura du mal, il n’a pas envie de se faire remarquer à cause de sa maladie et puis, il n’a pas besoin de tout ça. Il n’a plus de temps a perdre, il est la pour étudier jusqu'à ce que la vie décide qu’il rejoigne Yamada, alors pour le moment, il essaye de profiter de ce qu’il a avec lui, c’est à dire, de la vie. Kouji est malade, mais il est encore chanceux, il peut courir, chanter et voir le monde comme il le sent. Certaine personne ne peuvent pas faire ce genre de chose. Et il voit les choses de cette façon, dites-vous qu’il y a pire que vous.

Partit dans ses pensées, Kouji n’avait pas entendu la porte qui venait de s’ouvrir. Et puis, il s’en fichait un peu, même s’il ne voulait pas vraiment avoir de compagnie, il pourrait savoir qu’il y a au moins une personne qui l’écoute ce soir si se n’est pas Yamada. Mais pour le moment, il n’avait rien vu rien entendu. Il fixait les étoiles, laissant le vent caressait son visage, son visage pale et toujours un peu angélique la nuit venue. Mais s’il* était encore la, Kouji ne serait pas ici. Il serait encore heureux, ils joueraient comme deux inséparables. La, ils sont inséparables séparés. Et Kouji ne peut pas se dire qu’il est mort surtout. Vous trouvez-vous aussi qu’il est pitoyable ? Au moins il sait pourquoi sa classe l’a tabassé le jour de son arrivé.

Seul chose qu’il n’aurait surement pas apprécier, la personne qui l’écoutait était en train de l’enregistrer. Pourquoi ça ? La musique pure a l’état était beaucoup plus bel. Lui, en écoutant un cd, il n’arrivait jamais a éprouver de sentiment. Il voulait voir ce que la personne ressentait quand elle jouait, sinon, il ne pouvait pas comprendre. C’était ça le problème avec toute ces machines électroniques. Et Kouji avait beau être jeune, il ne faisait pas tout ce que les enfants de son âge faisaient, il avait toujours été plus sérieux, et la, c’était grâce à sa maladie. Il n’aurait pas aimer faire comme tout ces jeunes. Drogue, jeu, sexe, alcool … Se ne sont que des choses bêtes il faut l’avouer. Enfin, on s’en fiche, après tout, ils profitent tous de leur jeunesse, Kouji n’a que sa jeunesse, et vue son passé, il a du mal a profiter …

Alors qu’il finissait tranquillement sa chanson tout en restant concentrer sur un point fixe, il entendit un bruit a coter, alors ses doigts dérapèrent et il fronça légèrement les sourcils tout en baissant la tête pour voir ce qu’il se passait. La, il y avait une fille au sol, en train de ramasser son portable et Kouji se sentit assez gêner puisqu’il ne l’avait même pas vue arriver. Pourtant, elle était juste a coter. En plus de ça, elle était en train de rougir. Fais pas l’imbécile met la a l’aise. Le blond se releva rapidement et posa sa guitare a coter puis il tendit la main vers la jeune fille en souriant de son air toujours enfantin et bien sur angélique a ses heures.

- Merci.

La, il n’avait retenu que le compliment qu’elle venait de lui donner. A part lui, personne ne l’avait encore complimenter, et donc, le guitariste était bien toucher en plein cœur. Les yeux brillant comme s’il avait vu une étoile filante passée. C’est un problème chez Kouji, il montre vraiment ses sentiments rien qu’avec un regard. Mais alors … Pourquoi tu n’as rien vue Yamada ? Il voulait te le dire mais tu ne voyais donc rien. Encore lui. Il essaya de le laisser de coter pour le moment, il y avait quand même une fille au sol, et Kouji ne savait même pas d’où elle venait, le bâtiment peut être.

Invité

Une chanson dont la jeune femme ne s’était pas lassé jusqu’à ce qu’il s’arête. Elle avait aimé les paroles, il chantait bien, il jouait bien de la guitare, on pouvait pas rêver mieux. Peut être un meilleur confort de l’endroit où elle était assise? Peut être. Du moins, elle ne pouvait pas s’en soucier car la jeune femme faisait tomber son portable sur le sol, se laissant découverte, et puis, elle n’avait aucune chance d’échapper à la vue du jeune homme. Et bien avant qu’il ne s’approche, le cœur battant, Chuuya prenait son portable pour enregistrer ce qu’elle avait pris sur le moment et le mit dans son sac, peut être un peu trop rapidement.

Elle rougissait? Bah oui, la situation était gênante sur le fait. En plus d’être sur les genoux en position de Judo, à s’en vouloir d’être venue espionner ce qu’il était venu faire ici, Chuuya se sentit un peu bête. Même si dans sa tête, elle se demandait pourquoi il était là à une heure pareille, même si elle aussi était là, la jeune femme avait une raison d’y être vu qu’elle avait finis plus tard que prévue. La jeune femme relevait son regard et se sentit mal à l’aise lorsqu’il s’approcha d’elle, en lui tendant la main. Elle hésita, il avait pas l’air content au début…

Mais, après tout, il avait plus gentil lorsqu’il lui souria. Elle se sentit plus en confiance et posa sa main docilement sur la sienne, la serrant quelque peu pour se soutenir. Chuuya se releva, aillant posant sa deuxième main sur l’avant bras du garçon, pour ne pas tomber. Elle lui sourit maladroitement, même si ses joues continuaient de rougir intensément. La demoiselle baissa légèrement la tête, ne sachant quoi rajouter de plus. Cherchant une quelconque chose à dire, Chuuya bredouilla quelques mots, légèrement indécise…

« Ano…huh…Encore Désolé…Je ne voulais pas te déranger! … au début, je croyais que tu étais un de ces petits crâneurs qui viennent foutre le bordel la nuit, en faite, je m’étais trompé. Tu es sûrement quelqu’un de sympathique, vu que je me suis pas encore fait engueuler. Et puis, tu es très doué alors difficile de te demander d’arrêter… »

Elle se frotta légèrement la nuque, navrée qu’il soit dérangé par sa bêtise. Si elle n’aurait pas fait tombé son portable, il aurait terminé tranquillement, et la jeune femme serait partie silencieusement, même si sa pouvait paraître impolie, Chuuya n’aimait pas déranger les gens pour des broutilles, hormis Akira Kanzaki pour légèrement le taquiner mais sinon, sa la dérangeait. La nippone ne savait plus quoi dire, préférant changer de sujet…Elle se rappelait qu’elle se demandait précédemment pourquoi il était là, en pleine nuit? Elle se mordillait la lèvre, se concentrant sur le sol…

« Ano…je me demandais…pourquoi tu viens au lycée cette nuit? Tu avais un rendez vous avec un professeur ou autre chose? Enfin, sa m’intrigue un peu… »

Curiosité, quand tu nous tiens. La jeune femme cligna alors des yeux, ne sachant quoi dire, ni même faire. Il avait peut être mieux à faire que d’écouter les bêtises de Chuuya mais bon, si il était pas là pour étudier ou autre, la jeune femme se devait agir un bon élève en lui demandant de partir. Alors, qu’elle tourna légèrement son regard posé sur le sol, elle vit qu’elle avait encore ses mains dans celle du garçon, et les retira avec douceur, les mettant dans son dos, timidement.

« Gomen… »

Elle sourit timidement, se sentant un peu…trop bête! Même si elle était en classe A, ce n’était pas sa qui allait déterminer si elle était idiote, ne? Et puis, elle était pas en mode mademoiselle se la pète et se croyait supérieure. Elle avait quand même un peu de respect pour les gens, surtout pour le garçon.

Invité

Habituellement, Kouji n’aimait pas qu’on le déranger pendant qu’il était en train de chanter, surtout que la, la vue était magnifique et tout était plus calme que dans les autres endroits qu’il avait visité dans la ville. L’Endroit idéal d’après lui. Mais il fallait toujours qu’il y est un problème. Enfin, il ne pouvait pas se mettre en colère ni lui crier dessus, déjà, c’était une fille et donc elle était pardonnée, mais en plus, elle ne l’avait pas fait exprès. Et puis Kouji, se n’était pas un gars comme tout les autres. Il n’était pas la pour se la péter et se faire toute les filles qui passaient, sa serait plutôt le bon ami de confiance, alors il n’allait pas lui crier dessus comme la plupart des élèves l’auraient fais.

Il laissa la jeune fille s’accrocher à sa main et il l’aida à se relever en l’attrapa doucement par l’épaule a l’opposer de leur main. Une fois sur pied, il la regarda juste s’expliquer. Surtout qu’elle ne semblait pas vouloir lâcher sa main, ce qui n’était pas si grave, bien qu’un peu gênant pour lui qui ne connaissait pas se genre de contact. Un sourire toujours coller au lèvre et un regard remplit d’émotion à cause de sa chanson, le blondinet lui répondit :

- Ne t’en fais pas pour ça, je ne suis pas ce genre d’homme. Et merci …

Merci pour ce compliment qu’elle lui a donné. D’ailleurs, depuis qu’il est la, on lui dit souvent que sa musique est bien, a force, il va se dire que se n’est pas lui que les gens entendent. A Kyoto, il passait ses soirées a jouer avec Yamada dans le centre ville et personne n’osait poser le regard sur eux. Mais Kouji n’avait jamais perdu espoir, on lui avait dit qu’il avait du talent alors il y croyait et il continuait, juste pour lui* faire plaisir… Le blond regarda un instant autour de lui et son regard se posa finalement sur la lune. Yamada, tu es toujours la ?

Alors qu’il fixait la lune d’un regard un peu perdu, il entendit la voix de la jeune fille. Ca, il n’allait surement pas répondre avec de la sincérité, il ne pouvait pas, et pour se protéger, il ne savait même pas quoi lui dire. Alors il resta devant la lune, sans bouger, comme s’il n’y avait que le silence qui répondait, d’ailleurs, il devait mieux répondre que Kouji qui fixait toujours son rêve d’enfant. Alors la brune lui lâcha enfin la main, ça, il avait carrément oublier. Il soupira et tourna la tête pour reposer son regard sur la fille qui était toujours la et qui était toujours en train de chercher une réponse. Il se retourna alors et il attrapa sa guitare avant de s’asseoir au bord, jouant quelques notes a l’aide de son médiator.

- Ne te pose pas de question …

Il préférait ne pas mentir et faire comme s’il n’avait rien entendu. Mais face à ce genre de question, il se sentait mal et il le cachait comme il le pouvait mais se n’était pas facile. Enfin, quoi qu’il en soit, il ne raconterait pas sa vie aux autres. Tout restait entre Yamada et sa famille., c’était un trop gros secret, et Kouji ne voulait pas de la pitié des autres …

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