Sur un air de Piano ... [Toshio Oka]

Première journée de cour et voila déja ma belle nippone avec l'idée préssante et inssasiable de danser. Sa vie depuis ses cinqs ans elle l'avait passé a dansait, enfin la plupart du temps. C'était devenus une drogue pour la jeune femme. Un coup de cafard, une cou de bluz, une joie incommensurables .... tout les airs qui lui trotte dans la tete lui permette de donner lieu et naissance a des accrobaties, des déhanchements sensuels et milimétré ... Ahhh ce que c'était bon le bon vieux temps. Un air de jazz, de soul, de R'n'B, de Pop ou bien meme de musique classique et voila la jeune Hayame sur la piste de danse sans retenus sans se soucier des autres ... La musique la transporte dans un monde ou seul elle et sa musique compte. Il en devient pas croyable quand on la voit danser toute l'après midi jusqu'a des heures incongrus ... Il lui arrive de passer sa journée voir meme des nuits entière a composer ses propres chorégraphies. Elle aime la musique et la danse et ils leurs rendent bien. Aujourd'hui encore elle allait devoir sacrifier sa passion pour des livres poussiéreux et ne lui servant strictement a rien.
Arriver enfin a Sakurai de bon matin et avec une moue caractérisant son ennuie, la jeune femme fit semblant toute la matinée de s'interesser a ses cours. C'était bien la première journée depuis 2 ans maintenant qu'elle ce retrouver enfermer en cour. D'habitude elle était dehors flannant dans les rues, et allant a sa salle de danse ou elle donne des cours a des petit bout. Cela lui permettait de gagner de l'argent et de pouvoir en mettre de coté ... Prévoyante ? oui surtout depuis un an. La voila qui depuis son retour de Paris, habitant dans un appartement seul et sans ses parents. Depuis la mort de ce garçon la jeune femme n'est plus la meme. Elle n'a plus gout a rien ... si ce n'est a la danse, ce qui l'est avait unis. Elle a meme quasiment couper le cordon ombilicale avec ses parents pour ne pas a avoir affronter leur regard de compation.

Bref a l'heure actuelle la sonnerie retentit et la jeune femme descendit a l'administration. Là elle fit une découverte. Elle apprit qu'il y avait un pole artistique ou il y avait une pièce avec des instruments de musique et une surface assez grande pour une classe de chorégraphe ... La jeune femme retrouva subitement son sourire d'entant. Elle alla vite prendre dans son casier sa tenus de danse qu'elle a toujours sur elle, des fois que l'agence qui l'emploi lui demande de venir donner un cour, elle alla dans la salle que lui avait gentillement signaler une personne de l'administration et voila qu'elle pousse la porte d'un endroit sublime.
Des vitres sur toute une façade du batiment donnant une clarté incroyable a la pièce, une glace de part et d'autre de la pièce. Des barres pour les ballerines, des instruments de musique, un piano en bout de pièce et .... Hayame au milieu de la pièce emerveillé.
Elle ce ressaisit alors et enleva son T Shirt et son pantalon .... l'heure n'était plus au conte de fée mais a la détente ... elle ce retrouva en sous vetement dans la pièce et souria longuement. Elle enfila son pantalon de sport et sa brassière de sport et alla pret des barres pour faire des étiremment, des élongations et enfin la voila qui fait des sauts de chats et des souplesses dans toute la pièce.

Encore une journée à sentir la routine. A ceci près que la veille, le jeune Toshio était à une de ces soirées mondaines totalement ridicules et ennuyeuses à souhait.
Comme d'habitude, il s'y était rendu pour son père. Comme d'habitude, il avait du se faire accosté par 17 gosses de riches, dont 90% de filles cherchant à lui faire des avances... Bref, que du bonheur, pour quelqu'un qui virait misanthrope de jour en jour...

Autant vous dire que ce matin, le réveil de fut pas une mince affaire pour le pianiste. Surtout quand on commence a 8h avec 2h d'histoire.... Mmmh, Ô joie quoi.
Néanmoins consciencieux au niveau de ses études, Toshio prit son courage a 2 mains, et se leva tant bien que mal pour se doucher et petit déjeuner. Puis bon gré, mal gré, il se traina jusqu'en cours -enfin se trainer en voiture avec chauffeur, ça faisait tout de suite moins malheureux...-, où il se retint de somnoler. Il enchaina de suite avec 1h de Japonais classique...
Franchement, peut-il y avoir pire que cela?
Et bien oui... Si vous ajouter 2h de maths, à savoir la matière préférée de Toshio -précision: ceci est ironique- vous avez la matinée type capable de tuer Toshio...
Mais s'il survivait, il avait prévu d'aller passer toute son aprèm à jouer dans une des salles de musique du bahut. Aussi prit-il son mal en patience, et attendit que la matinée passe en étudiant malgré tout consciencieusement. Car n'oublions pas que Toshio se devait d'avoir des bonnes notes pour ne pas avoir pas on père sur le dos... Et parce qu'il l'avait promis à sa mère, avant qu'elle ne décède...

Juste le temps d'aller déposer ses affaires de cours, de prendre deux partitions dans son casier, et il alla à la grande salle de musique, saluant de la tête quelques connaissances dont il ne parvenait même pas à se souvenir du visage 3 minutes après les avoir entraperçus...

Bref, Sans encore jeter un coup d'oeil dans la pièce, Toshio y entra, prenant soin de la fermer correctement après. Les yeux rivés à ses partitions, il n'avait toujours pas remarqué qu'il était loin d'être seul dans la pièce. Il s'en rendit compte uniquement quand il s'était installé dans le piano au fond de la pièce. Ses yeux scrutèrent la pièce pour capter un peu l'ambiance, et il vit alors une jeune femme en tenue de danse, faisant quelques étirement à la barre.

*Oh... Je suis bigleux moi alors...*

Il faut bien avouer que la jeune femme ne l'avait visiblement pas remarqué, puis qu'elle se mettait désormais à faire des entre-chats. Levant les yeux au ciel, il l'observa quelques secondes, avant de se dire qu'après tout, s'il se mettait à jouer cela permettrait à l'inconnue de s'entrainer... Et puis à moins qu'elle ne pèse 800 kg et qu'elle défonce le sol en sautant, elle ne risquait pas de le déranger.
Faisant craquer ses phalanges, il inspira, et se mit à jouer une mélodie à la fois entrainante mais pleine de nostalgie. Il jouait souvent cette mélodie quand il était seul...
Levant les yeux de temps en temps, il se plaisait à poser les yeux sur l'inconnue. Allait-elle danser où non c'était un mystère... Aussi rebaissa-t-il les yeux continuant de jouer encore quelques minutes...

Entre saut de chat, entre jambes, pointes et petit saut la jeune Koyama n'avait pas remarquer que quelqu'un était entrée dans la pièce ou elle ce trouvait. Comme je l'est dit auparavant quand la danse prend la jeune femme dans ses bras c'est comme si plus rien n'avait d'importance, comme si elle était couper du monde et n'avait qu'un seul besoin. Celui de danser. Combien de fois est-elle tomber malade par ce qu'elle sauter des repas et ne dormait quasi jamais tout cela pour connaitre sur le bout des doigts sa chorégraphie. Et oui que voulez vous le monde de la danse n'est pas pour les fénéants et encore moin pour ceux qui manque de courage. Elle, elle en avait a revendre. Certe dans ses débuts de carrière elle avait eu bien du mal a trouver les positions juste, les ryhtmes et les mouvements millimétré mais a force de courage et d'entrainement elle avait réussis a etre parmis les meilleures. Elle était fière de son parcours et cela pour ce voir quand elle dansait, car on aurait dit un ange avec un sourire éblouissant traduisant son bien etre a chaque pas qu'elle fesait. La ou elle se sentait le mieu c'était quand elle dansait et rien d'autre. Enfin a l'heure actuelle, il y a un ans passé elle aurait pus arreter la danse pour lui, et rien que pour lui sans hésiter.

Alors que la petite ballerine aller faire quelques assouplissement nécessaire a son corp avant toute chorégraphie, elle entendit alors un sons sortir du piano. Sa première pensée fut qu'il y est un fantome dans la pièce, mais son instinct qui lui fit tourner la tete vit un homme plutot beau garçon, elle devait l'avouer ... en train de jouer une mélodie magnifique qui donner envie a la jeune femme de ...
Et la voila qui ce mit a jouer les parfaite ballerine, saut de l'ange accrobaties, souplesse, enjambement et tout le tralala ... c'était magnifique a voir. Un virtuose et une danseuse jouaient tout les deux de leurs passion. On aurait pus ce croire dans une scène d'un love story, touchante et poignante en meme temps.
Puis elle s'arrete au milieu de la mélodie et dit.

C'est beau ...

Elle alla pret du pianiste et s'adossa telle une artiste contre le piano écoutant encore la mélodie ... d'ordinaire elle ne se serait pas arreter mais bizarrement elle avait juste envie de l'écouter et non de danser pour une fois.

Quand Toshio était installé derrière son piano plus rien n'avait d'importance.
Il appréciait l'acoustique de cette pièce, qui résonnait légèrement, lui permettant d'apprécier encore plus le son de son jeu, l'émotion qu'il y mettait.
Toutes ces sensations qu'il avait apprise à reconnaître avec sa chère mère... Il mettait toujours toute son âme, tout son cœur, qu'il cachait aux autres, uniquement dans le but de faire vibrer les gens...
Le temps de quelques secondes, il releva son regard vers la jeune femme, et manqua de faire une faute de rythme en la voyant si gracieuse et élégante, plume légère emportée par le flot de ses notes...

Légèrement dérouté par ce soudain accès de sensiblerie,, il rebaissa aussitôt les yeux et se concentra de nouveau sur son jeu. S'il ne se sentait pas capable de faire face à la beauté de la danse de cette inconnue, il allait faire de son mieux pour jouer... Même s'il se défendrait de le faire pour elle...
Plus il se laissait aller à sa passion, détournant sa mélodie à quelque chose de soudainement bien plus nostalgique...
Les accords s'enchainèrent, il s'immergeait totalement dans sa mélodie, on ne pouvait guère trouver plus passionné que Toshio à cet instant...
Mais quand il entendit la voix de la jeune femme, il sursauta si fortement qu'il qu'il fit une fausse note, ce qui le déstabilisa grandement. Son compliment ne l'émeut pas spécialement... La seule chose qui le flatta, c'est le fait qu'elle se soit arrêter de danser. Pour le peu qu'il l'avait observé, il était clair que la danse était tout pour elle...et s'arrêter pour l'écouter était peut-être un bien meilleur compliment que ses paroles.

_ Je vous remercie...

Il avait susuré ces mots très doucement sans rouvrir les yeux, ne souhaitant pas briser la magie de sa mélodie. Quelques minutes plus tard, il ralentit son rythme, pour finir en douceur sa mélodie.
Il ouvrit enfin ses yeux, et déponsa un regard fermé et froid, celui qu'il arborait d'ordinaire. Néanmoins ses lèvres étaient courbées par un fin sourire de satisfaction. Il avait touché le coeur de quelqu'un, comme souhaitait que sa mère le fasse.

_ Je ne voulais pas que vous cessiez de danser, vous savez... C'est dommage, c'était agréable à observer... Assez inspirant aussi.

*Même si je n'osais pas regarder plus de 30 secondes d'affilées...*

Il réunit un peu ses partitions, et ferma la protection du clavier. Il laissa ses mains glisser sur le bois vernis. Il avait toujours adoré ce contact avec l'instrument... Se concentrant sur les sons environnement il capta la respiration étrangère à la sienne, et il se souvint de la présence de la danseuse.

_Je m'apelle Toshio Oka...

Toujours appuyais contre le piano et la tete en arrière la jeune nippone, souhaita un instant que ce moment ne s'arrete jamais. Oui par le passé elle avait entendus de sublime mélodie, oui elle avait offert son corps a toute les musiques de ce genre, mais bizarrement elle préféré ne pas danser quand une musique lui plaisait ... Non la jeune femme avait pour principe d'écouter avant tout et après de se donner a fond si elle en trouvait la force, la volonté et l'inspiration. Hayame est une femme complexe et ambigus. D'habitude elle ne se serait pas fait priée pour danser sur cette mélodie, mais d'habitude elle ne dansait pas seul ... Lui avait toujours été la, mais lui ne fesait plus partit de se monde maintenant, donc elle ne trouvait plus la force de se donner autant comme avant. Comme elle l'avait toujours fait par le passé.
Enfin le jeune homme la remercia de son pseudo compliment, et continua sa mélodie, qui fahis faire pleuré la jeune femme. En faite la jeune femme pleuré souvent, mais pas pour les meme raisons. Cela fesait maintenant très longtemps qu'elle n'avait pas pleuré, émus de quelques chose ou pleuré d'amour ... Aujourd'hui elle fahis retrouver ce sentiment.

Mais comme les bons moments ne durent jamais, le virtuose arreta enfin sa mélodie et parla a la jeune Hayame. Elle se mit alors a sourie en coin et timidement de son compliment qui pour elle ne lui fesait aucun effet ... Elle le regarda alors fermer et recouvrir les touches du piano et le fixa longuement encore ébahis par la musique. Suite a cela il se présenta a la jeune nippone qui ne put lui dire que.

Joue moi un autre morceau s'il te plait Oka-san !!!

Elle avait prit soin de mentionner le nom de son interlocuteur pour lui faire comprendre qu'elle l'avait bien écouter, mais elle préféré l'entendre jouer plutot que parler ... Comme lui avait préféré qu'elle danse plutot qu'elle ne s'arrete. Elle ne plongea pas tout de suite son regard dans le sien, mais réouvrit la protection du clavier posa sa main sur un touche sans appuyais et enfin le regarda.